La rue de Lappe, chantée par Mouloudji, devient alors le repaire des apaches, voyous et truands en tous genres, qui fréquentent les premiers bals musette où les cabrettes auvergnates s’associent aux accordéons diatoniques des Italiens et où l'on danse la bourrée en claquant des talons. La cabrette s'est effacée progressivement mais le nom est resté : le musette. Les plus grands musiciens du genre y ont joué. Dans les années 1930, dix-sept bals y sont installés, dont Le Chalet, La Boule Rouge, Les Barreaux Verts, Le Bal Chambon, le Bal à Jo, du nom de son propriétaire, Le Balcon ou La Bastoche. |
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